Monsieur le sénateur, je ne suis ni sourde ni aveugle, j’entends le désarroi, la colère, la frustration des différents opérateurs et acteurs de la culture, responsables de théâtres, de cinémas, comédiens ; nous sommes à leurs côtés.
Je les entends, je les écoute et je prépare la sortie de crise. J’espère avoir bientôt l’occasion de retourner à Avignon, et je forme le vœu que, cette année, les conditions sanitaires permettent au festival de se tenir.
J’ai accompagné ces festivals avec un fonds d’urgence de 10 millions d’euros, que j’ai abondé de nouveau de 5 millions d’euros.