En revanche, nous n’adhérons pas au principe de méfiance ou de défiance, puisque nous souhaitons plutôt exprimer par ce projet de loi la confiance, et nous ne partageons pas la suspicion d’irresponsabilité, préférant au contraire responsabiliser les opérateurs. C’est donc probablement sur ces deux terrains que nous aurons des débats animés.
Monsieur Biwer, l’amortissement, vous l’avez dit, est nécessaire : le projet de loi le prévoit, pour les petits comme pour les gros crédits renouvelables. C’est là une avancée dont vous êtes, depuis longtemps, le promoteur, et c’est bien volontiers que je vous en fais crédit.