Mon général, comme vous l'avez rappelé, quatre opérations de haute intensité ont été menées ces dernières semaines, avec d'importants moyens matériels et humains, notamment dans la zone des trois frontières, où se trouvent près de 3 000 soldats - nos forces alliées bien sûr, mais également des Nigériens et des Maliens. Les résultats obtenus ont permis de communiquer, de façon plus large, sur l'opération Barkhane. Ces opérations ont-elles également démontré aux autorités maliennes qu'il n'était pas forcément utile de négocier ?
Par ailleurs, mon général, avons-nous encore affaire à un djihadisme endogène ou bien des éléments extérieurs viennent-ils se rajouter aux combattants des GAT ?