Là encore, ce sont les entreprises qui décident d’un simple clic, de façon obscure, ce qui doit rester ou disparaître.
De quel droit une entreprise privée peut-elle décider de ce qu’on peut dire ou pas ? Tout défenseur des libertés se doit de répondre à cette question.
Le Gouvernement a annoncé le « besoin d’inventer une nouvelle forme de supervision démocratique ». Qu’entendez-vous par là ?