La France compte entre deux et quatre élevages de visons, placés actuellement sous très haute surveillance. Il n'existe pour l'instant aucun signal d'alarme. Ces élevages n'étant pas totalement étanches, la question se pose toutefois de savoir s'il ne faudrait pas abattre les animaux avant qu'une éventuelle contamination ne se produise, avec une possible dissémination vers des animaux sauvages récepteurs, comme les furets. Il s'agit donc d'une source de préoccupation.