Ne devrait-on pas plutôt parler d' « activité physique et sportive adaptée » ?
Nous savons que, sur ce sujet, ce sont souvent les collectivités qui sont à la manoeuvre ; 65 d'entre elles sont d'ailleurs en pointe aujourd'hui. Des inégalités territoriales d'accès à la pratique sportive à des fins de santé ont été largement pointées ces dernières années, et le ministère avait dit qu'il s'emparerait de ce sujet. Savez-vous si l'on constate une amélioration de ce côté-là ? Comment les communes peuvent-elles jouer un rôle positif, de ce point de vue, dans les parcours de santé et l'animation des temps sportifs ?
Quel rôle, par ailleurs, pour les fédérations sportives, en lien avec les médecins, les entraîneurs et les pratiquants, pour définir des protocoles d'activité adaptée ?