L’enjeu fondamental, dans la durée, c’est de ne pas perdre définitivement les marchés et les clients qui avaient été conquis, séduits au fil des décennies, avec beaucoup de patience et de talent.
Il faut aller très vite si nous ne voulons pas que la France et le peuple des vignerons fassent définitivement les frais de ce conflit, alors qu’ils n’y sont rien. Le Président de la République doit normaliser très vite les relations commerciales entre la France et les États-Unis.