Au début de cette crise, le Président de la République a dit que nous étions en guerre. On a vite oublié ce mot que l'on trouvait provocateur. Mais finalement, il s'agit peut-être d'un prisme intéressant pour aborder cette mission eu égard au nombre de victimes. Le deuxième angle de vision à explorer est la qualité « anxiogène » des outils d'information ou de « désinformation », car les rumeurs sont allées bon train. Quid de notre capacité à réguler ces informations, à les analyser et à savoir prendre de la distance par rapport à elles ?