J'entends absolument ce que vous dites. Il n'est pas question, dans le contexte actuel, qui n'est pas celui de la réforme du système universel, de nous mêler de la gestion de l'Agirc-Arrco, c'est clair ! Néanmoins, puisque des décisions politiques vous ont apporté quelques compensations, le politique a le droit de contrôler votre financement, qui s'élargit, sans pour autant intervenir sur les équilibres généraux de votre système. Nous ne faisons que poser une question, et j'entends pour ma part tous les arguments, pour ou contre. Mais je le redis : il n'est pas dans l'intention de la commission des affaires sociales de se mêler de votre gestion.