Cet amendement que je défends au nom de mon collègue Stéphane Le Rudulier, et dont je suis cosignataire, vise à supprimer l’article 1er, qui nous conduit sans détour vers le droit à l’enfant.
Certains accidents de la vie peuvent bien sûr priver un enfant de son père, mais s’il était adopté, cet article aurait pour conséquence d’institutionnaliser l’absence de père en l’inscrivant dans la loi. C’est un pas que nous ne souhaitons pas franchir.
En outre, la médecine a vocation à soigner et non pas à rendre possible ce qui ne l’est pas naturellement.
Le 30/03/2021 à 10:25, aristide a dit :
La politique de la médecine est devenue une usine à perversion.
Vous trouvez ce commentaire constructif : non neutre oui