Pour ce qui concerne les moyens de poursuivre le développement économique et le désenclavement en matière de transport de cette zone populaire de l’est du Val-d’Oise, j’ai la conviction que l’écologie n’est en aucun cas un frein. C’est un accélérateur du développement économique, et nous ne devons pas mettre en opposition ces deux aspects.
L’abandon d’EuropaCity a été décidé par le précédent gouvernement. Il s’inscrit dans une logique conforme à celle du projet de loi que j’ai présenté en conseil des ministres ce matin et qui permettra de lutter contre l’artificialisation des terres, celle-ci étant responsable, vous le savez bien sur vos territoires, de nombreuses aggravations des effets du changement climatique.