Nous n’écartons aucun scénario, y compris ceux qui permettent d’éviter d’artificialiser les rares terres agricoles de cette partie de l’Île-de-France.
Bien entendu, je suis tout à fait disposée à rencontrer les parlementaires, les élus locaux, les acteurs associatifs et les citoyens du territoire, afin de définir, ensemble, les meilleures solutions pour désenclaver et développer cette partie du Val-d’Oise, qui a besoin de perspectives et de soutien.