Jeudi, devant les commissions des affaires économiques et du développement durable et de l'aménagement du territoire de l'Assemblée nationale, la ministre de la transition écologique a évoqué, pour la première fois, les difficultés rencontrées pour parvenir à un accord avec la Commission européenne sur le projet Hercule et la nécessité de disposer d'un « plan B » en cas d'échec. Quel pourrait être ce plan B ? Pourrait-il s'agir d'une recapitalisation ?