Madame la ministre, je vous remercie. J’entends tous ces chiffres, qui correspondent en effet aux objectifs de la loi et aux engagements pris à travers elle. Bien évidemment, je vous fais confiance ; il n’en demeure pas moins que subsiste un problème de compréhension : nous sommes sollicités à la fois par des étudiants et par leurs familles, cependant que des doyens se sont exprimés sur le sujet.
La médecine est vraiment un métier de vocation. Les étudiants, dans cette période difficile, montrent d’ailleurs à quel point ils sont impliqués dans la gestion de cette crise. Il faut leur laisser de l’espoir. C’est pourquoi il importe de veiller à ce que cette réforme du numerus clausus ne leur soit pas moins bénéfique que ce qui était initialement prévu.