Selon les discussions avec Suez, le capital resterait à majorité français et le serait même plus que maintenant, puisqu'il compte aujourd'hui, on l'a dit, beaucoup de sociétés de gestion étrangères.
On y trouverait aussi une part beaucoup plus importante d'actionnariat salarié, ce qui est toujours extrêmement dynamisant pour les entreprises.