Le Conseil de sécurité des Nations unies réuni mardi en urgence n'est pas parvenu à s'entendre. Des négociations sont toujours en cours mais, pour être adopté, un texte nécessite le soutien de Pékin qui exerce un droit de veto en tant que membre permanent du Conseil de sécurité. Or, la Chine reste le principal soutien de la Birmanie aux Nations unies et y a contrecarré toute initiative lors de la crise des Rohingyas. Quel rôle l'ONU joue-t-elle ?