Entre 1997 et 2002, il a manqué plus de 13 milliards d'euros, soit une année entière de programmation militaire.
Je vous remercie donc, mesdames, messieurs les sénateurs de la majorité, d'avoir souligné les uns après les autres que le respect de la loi de programmation militaire constitue un fait exceptionnel qui, comme l'a souligné M. le rapporteur spécial Yves Fréville, est inédit depuis trente ans.