Merci, monsieur le secrétaire d’État, pour vos réponses. Je sais que vous connaissez notre territoire. Pour autant, si nous vous posons autant de questions sur la santé cet après-midi, c’est parce qu’il s’agit d’un sujet particulièrement brûlant.
J’ai également évoqué la question de l’éducation : nous avons du mal à comprendre que, d’un côté, on mène des politiques volontaristes pour réimplanter des services dans les territoires et que, de l’autre, on y ferme des classes, alors même que les territoires élaborent des projets territoriaux d’attractivité.
J’attire donc votre attention sur la nécessité de veiller à la cohérence s’agissant de ces deux services essentiels pour les territoires.
Je ne conclurai pas mon intervention sans évoquer la situation de l’agriculture de montagne, en particulier de l’élevage, ce secteur étant aujourd’hui en grande difficulté. Les annonces contradictoires qui sont faites nous inquiètent beaucoup.