Nous n'avons pas ajouté de représentations, notre objectif étant surtout de maintenir le plus possible la programmation ; en juillet cependant, nous avons joué davantage que prévu, mais pour rattraper des représentations que nous avions dû reporter. Nous avons annulé des spectacles trop difficiles à concilier avec le protocole, en particulier ceux qui tournent.
L'investissement que nous avons dû faire est certes coûteux, mais quid du coût de la fermeture elle-même ? Lorsqu'un théâtre ferme, il perd les recettes de mécénat, ce qui représente chez nous le quart du budget, à quoi s'ajoutent les locations de salle, représentant 9 % de notre budget... et je ne parle ici que des données chiffrées.