Je me permets un petit clin d'oeil, comme l'a fait Cathy Apourceau-Poly la semaine dernière, en rappelant que nous avions nous-mêmes déposé, en première lecture de ce texte, une motion tendant à opposer la question préalable, qui n'avait pas été adoptée.
Nous voterons sans états d'âme cette motion ; non seulement cette proposition de loi ne saurait améliorer la situation de notre système de santé, mais l'Assemblée nationale a encore aggravé les choses.