Mme Moutin, quels organismes pourraient le mieux accompagner, selon vous, les entreprises dans la prévention des risques ? M. Mardiné a souligné que le travail était un facteur d'épanouissement : comment expliquer une telle différence entre le nombre de postes non pourvus et le nombre de demandeurs d'emploi ?
Beaucoup d'entreprises et de salariés sont réticents à l'égard de l'actionnariat salarié, qui est pourtant un moyen d'associer les salariés à la vie de l'entreprise. Qu'en pensez-vous ?
Mme Coton a évoqué l'importance des comités de suivi de la qualité de vie au travail : quelle organisation concrète suggérez-vous, en dehors de l'organisation par bassin d'emplois pour les TPE-PME ? Les risques psychosociaux sont très difficiles à appréhender : sont-ils toujours dus à vie professionnelle, ou à la vie privée ?
Enfin, M. Angéi, peut-on considérer que le travail s'est affadi avec les évolutions technologiques ? Dans l'agriculture, la pénibilité du travail a diminué avec le progrès technique.