La semaine dernière, j'ai animé un séminaire de la chambre de commerce de l'Essonne. Le Grand Paris m'en demande une autre. Il y a un réel besoin et une demande.
Depuis la création de la réserve citoyenne, un changement de doctrine a laissé largement les réservistes civils de côté, au profit des réservistes opérationnels. C'est dommage : ils pourraient être utilisés pour faire de la sensibilisation.
Lorsque les cyber-victimes s'adressent à nous, elles ne savent pas quoi faire. Je suis aussi secouriste-réanimateur ; j'ai l'impression que les entreprises sont dans la même situation que ces gens qui ne savent pas réagir face à un accident.
Il y a diverses plateformes, mais pas de memento unique indiquant ce qu'il faut faire face à une attaque. Il manque cette cohérence dans l'ensemble des dispositifs qui existent, mais sont méconnus.