Il peut s'agit d'une formation ponctuelle. L'organisme de formation agréé ne va pas recruter une personne pour dispenser une formation de quelques heures. La transparence sera totale : cette personne sera signataire du contrat et le volume d'activité sous-traité sera encadré par décret. Cette souplesse me semble tout à fait nécessaire. Des élus auront peut-être besoin un jour d'une expertise sur un sujet extrêmement pointu, comme celle - pourquoi pas ! - d'un vulcanologue, par exemple : au nom de quoi devrions-nous les priver de cette possibilité ?
L'amendement n° 12 est adopté.