Tous ceux qui ont dirigé des collectivités territoriales le savent : pour les autorités préfectorales comme pour les maires, il est alors bien trop tard pour réagir, car le mal est largement fait.
Il ne s’agit pas simplement d’examiner la conformité d’un projet pédagogique. On connaît les financements dont disposent ces associations. On sait qu’elles s’opposent à nos valeurs : elles refusent même de signer une charte de respect des valeurs de la République. En conséquence, il s’agit de savoir si elles peuvent continuer de se développer sur le territoire national. La réponse du Gouvernement est non.