Monsieur le ministre, ce n’est pas un accord amiable : c’est une trahison !
Une trahison de l’intersyndicale de Suez, tenue totalement à l’écart des négociations ; une trahison de l’État, qui n’a plus prise sur ces entreprises absolument stratégiques. Il y a pourtant urgence à garantir un droit effectif à l’eau, comme nous le proposerons demain dans cet hémicycle.
Il faut aider les collectivités qui veulent rétablir la gestion de l’eau en régie et rendre les premiers litres gratuits.
Enfin, il faut maintenir l’emploi et les filières d’excellence dans notre pays, ce que cette fusion fragilise.