En mai dernier, à l'occasion d'une audition demandée par nos collègues de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), vous avez expliqué, qu'après dix-huit mois à la tête de l'ASN, vous aviez fait le constat marquant d'un déficit de culture de précaution en France, qui s'appliquait également au nucléaire. Pouvez-vous nous expliquer ce qui vous a permis d'en arriver à cet inquiétant constat ? L'actuelle crise a-t-elle révélé de nouveaux risques ?