En effet, je suis allée à la rencontre des pêcheurs normands et je vous rejoins sur votre constat relatif à la coquille Saint-Jacques. Malgré tout, sur les 30 % d'aires marines protégées, seuls 2 % fonctionnent et c'est pour cela qu'il faut de vrais plans de gestion. Nous devons également intégrer les pêcheurs à ces plans et nous appuyer sur ce qui fonctionne, pour faire en sorte qu'on arrive à un pourcentage significatif de zones vraiment protégées.