Votre ouverture à l'international est-elle assez intégrée dans le parcours des étudiants de l'enseignement agricole ? Avez-vous dressé des comparaisons avec d'autres modèles étrangers ?
Quel est le profil des doctorants à l'Inrae ? Sont-ils surtout issus de l'enseignement agricole ? Vers quel parcours se tournent-ils ensuite ?
Je souhaite évoquer également les nouveaux enjeux liés à la transition écologique et aux fortes attentes sociétales. Estimez-vous que ce sujet fasse partie intégrante de l'enseignement supérieur agricole ? Avez-vous une vision des sujets qui pourraient s'imposer dans les années à venir ?
Dans le domaine de la recherche du monde professionnel agricole, identifiez-vous un manque de vocations et de candidats ? Quels sont les leviers susceptibles d'accroître l'attractivité ?
Pour ma part, j'ai toujours beaucoup apprécié ce que votre structure propose au Salon de l'Agriculture. J'ai dégusté des vins issus des cépages résistants et je me suis toujours interrogée à ce sujet. Le goût des côtes-du-Rhône, des syrahs et autres grenaches est apprécié par le consommateur. Si les cépages doivent être changés, il faut aussi réfléchir à la question du changement du goût du vin.