J’entends votre réponse, madame la secrétaire d’État, mais elle ne convainc pas grand monde ici. En tout point du pays, c’est la puissance du réseau de la culture décentralisée qui assure la relation au public jeune, en particulier. C’est une action durable et constante, dont les artistes sont les premiers acteurs.
La priorité à accorder à la jeunesse ne saurait passer par des gadgets décidés verticalement depuis Paris, au mépris des réalités de nos territoires.