Monsieur le Premier ministre, vous m’accorderez que jamais une telle action d’un syndicat majoritaire – lequel déclare rarement celles qu’il mène auprès de la préfecture – n’a fait l’objet d’une répression aussi violente – et je ne compte pas les policiers blessés.
Après les gilets jaunes, les journalistes, les avocats, les médecins et tant d’autres, la répression violente du mouvement social a atteint son paroxysme : plus personne n’est épargné, ni les agriculteurs ni même les représentants du peuple.