Victime par ricochet, M. le sous-préfet est d’autant plus triste après vos dernières annonces, monsieur le Premier ministre. Comme nous, vous avez certainement lu la lettre d’Alphonse Daudet avec beaucoup de plaisir. Vous vous souvenez qu’emporté par sa passion le sous-préfet faisait des vers. Je ne suis pas sûr qu’il s’en contente après votre réforme : faute de statut, il ira pantoufler, il entrera dans le grand mercato des hauts cadres dirigeants.