Nous sommes tout à fait prêts au débat. D’ailleurs, j’ai fait savoir aux commissions des lois de l’Assemblée nationale et du Sénat que je me tenais à leur disposition : vous étiez vous-même présent à mon audition de la semaine dernière, qui s’est tenue sur ma demande.
Notre réforme est là pour que nous puissions regarder trois faiblesses.