Bien évidemment, monsieur le sénateur, on ne peut pas imaginer une telle transition sans l’implication des nouveaux métiers de la formation, pour accompagner l’évolution de nombre de filières économiques, dans l’industrie et l’activité agricole, au cœur de cette transition.
Nous déployons ces dispositifs avec des moyens, ces emplois verts, qui doivent accompagner les changements de trajectoire professionnelle. L’importance de la formation est évidente. Cette évolution est vécue, je crois, comme une chance, parce que, en ayant la possibilité d’accéder aux moyens qui favorisent la réorientation professionnelle, certaines personnes retrouvent du sens dans leur activité professionnelle.
Nombre de Français cherchent un engagement dans cette transition, et des moyens existent. Chaque semaine, chaque jour, nous sommes sollicités par des filières professionnelles cherchant des personnes pour mettre en œuvre ces nouvelles pratiques.
L’environnement international accompagne également cette transition du point de vue social. D’ailleurs, un sommet social aura lieu à Porto, le 8 mai prochain, au cours duquel le Président de la République portera cette position, avec une forte implication.