Les exemples que je vous ai cités renvoient à des formations qui existent déjà et que les établissements peuvent dès à présent mettre en oeuvre. De leur côté, certaines filières, telles que l'horticulture, rencontrent effectivement des difficultés à pourvoir leurs effectifs, mais les établissements ont tout de même souhaité les conserver dans leur offre de formation. Dans ce sens, ils sont prêts à les adosser à d'autres parcours pour que cet effort soit financièrement supportable. Quoi qu'il en soit, on constate une réelle volonté de réviser l'offre de formation de l'ensemble des établissements pour répondre au mieux aux attentes des professionnels et des jeunes.