Je vous remercie pour ce témoignage qui, forcément, nous émeut. J'ai lu le livre, et j'ai donc saisi certaines de vos allusions, que mes collègues n'ont peut-être pas tous compris. Lorsque vous indiquez que vous n'avez raconté qu'une partie des évènements, je dois dire que ceux qui sont dans votre livre sont déjà particulièrement violents.
Mais vous avez réussi à garder votre bienveillance et votre générosité malgré cette violence permanente autour de vous. Je laisse la parole à mes collègues pour vous interroger.