Merci Monsieur le président. Nous allons immédiatement aborder la question de la place des femmes dans la course au large et la voile au niveau professionnel.
À une époque pas si lointaine, une femme sur un bateau portait malheur. Elles étaient écartées du monde de la voile. Voulez-vous vous exprimer sur les défis et obstacles que vous avez rencontrés ? Le choix de la course en solitaire s'impose-t-il parce qu'il est plus difficile d'entrer dans un équipage ? Je reprends le témoignage de Clarisse Crémer, qui indiquait faire partie d'un équipage car la présence d'une femme était imposée sur chaque bateau pour la course qu'elle s'apprête à disputer. Avez-vous toutes votre place dans la course au large en équipage comme c'est le cas en solitaire ?