Cette disposition a fait l'objet de nombreuses discussions, notamment avec Bérangère Poletti, car la programmation financière est triennale. Nous fixons des pourcentages, mais nous souhaitons aussi donner l'opportunité au ministère des affaires étrangères, fin 2022, de prévoir un certain nombre de crédits. En somme, c'est la continuité du tableau à l'article 1er, qui va de 2020 à 2022. Avant la fin 2022, comme Jean-Yves Le Drian nous l'a dit explicitement, le Gouvernement a besoin de faire une programmation en chiffres absolus pour 2023-2025.