Le problème s'est simplifié quand nous avons réfléchi aux fonctions de la commission. Le rapporteur de l'Assemblée nationale, très attentif aux qualités du système britannique, était désireux que des experts à temps plein se consacrent à un travail de fond, et que ces personnes soient effectivement des experts indépendants et dévoués. J'ai été sensible à l'argument du Sénat, qu'il fallait un contrôle parlementaire de l'évaluation, sachant que les parlementaires eux-mêmes ne sauraient se consacrer à l'évaluation. Nous avons combiné les deux approches avec un groupe d'experts indépendants qui rendrait compte de ses travaux aux parlementaires membres de la commission. C'est une synthèse utile.