Dans le même temps, comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles charges ont été imposées au FSV.
Il faut ainsi noter les augmentations successives du niveau de la prise en charge pour les chômeurs non indemnisés, à hauteur de 25, 5 %, puis de 29 %, au lieu des 23, 5 % initialement prévus, ainsi que la prise en charge des périodes de chômage dans les départements d'outre-mer et la reprise de la dette de l'État envers les régimes complémentaires AGIRC-ARRCO au titre des cotisations chômage, ce qui représente pas moins de 1, 4 milliard d'euros.