Le vrai sujet est de savoir ce que l'on veut sécuriser. Comme l'a rappelé le Président Lafon, la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale ne s'est pas saisie du texte - ce qui est malheureux. Nous aurions pu nous allier pour faire valoir notre point de vue. En l'état, ma plus grande préoccupation est de savoir si, a minima, nous pouvons sanctuariser quelques avancées.
Je regrette que nous n'ayons pas auditionné Roselyne Bachelot qui est étrangement silencieuse sur le sujet alors que les questions d'archives, des historiens dépendent de son ministère... Il faudrait qu'elle se positionne. Comment faut-il procéder ?