Je ne pense pas que la solution trouvée par les gouvernements successifs, que nous soutenons, soit miraculeuse.
On a pensé résoudre la difficulté en supprimant purement et simplement le FOREC. En fait, le problème n'a été réglé que partiellement. C'est mieux que rien.
Monsieur le ministre, je regrette que M. Jean-François Copé n'ait pris ni le temps ni la peine de venir participer à ce débat afin d'entendre nos doléances, nos inquiétudes nos préoccupations.