Lors des auditions de la mission d'évaluation sénatoriale sur les effets du Covid, l'ANRS nous a communiqué les résultats d'une étude prévoyant une quatrième vague à l'automne. Des analyses font apparaître des différences de traitement et donc de sortie de crise des entreprises en fonction des États. Quelle position la France a-t-elle défendue lors de ce Conseil européen pour préparer une réaction plus collective sur la base du retour d'expérience des trois premières vagues ? Je veux être certain que la notion de résilience est effective et que l'Europe se prépare aux conséquences de cette quatrième vague.