Monsieur Mahéas, il n'y a pas de raison valable de refuser qu'un médecin procède au suivi de l'évolution comportementale des enfants violents, avant qu'il ne soit trop tard, ni de refuser d'introduire un policier référent dans les écoles qui le demandent, comme l'ont d'ailleurs fait vos collègues socialistes en Grande Bretagne.