Nous avons donc poursuivi et intensifié cet effort. Nous ne voulons pas dans les quartiers d'un calme précaire cachant un possible règne des bandes. Nous ne voulons pas pour les habitants de ces quartiers une « sécurité » qui serait conditionnée par leur docilité aux caïds des coins des rues, des cages d'escaliers et des caves d'immeubles.