Nous essayons aujourd’hui une nouvelle forme de débat.
Monsieur le ministre, soit vous répondez à chaque intervenant, ce qui permet à chacun de bénéficier d’un temps de parole supplémentaire pour la réplique, soit vous ne répondez à personne ! M. Husson, M. Gontard et moi-même méritons, nous aussi, une réponse. Il me paraît incohérent, politiquement, de choisir les intervenants à qui l’on répond et, ce faisant, d’interdire aux autres de reprendre la parole.