Monsieur le sénateur Fialaire, au travers de votre plaidoyer en faveur de l’unité républicaine, vous avez clairement montré que le présent débat dépassait les portes de l’université ; il concerne effectivement l’ensemble de notre société.
Au-delà de la question de la recherche et de l’enseignement s’opposent en fait deux visions de la société. Je vous remercie, monsieur le sénateur, pour votre beau plaidoyer en faveur de l’esprit critique et de la défense, sans angélisme, de toutes les expressions. Nous ne devons pas imposer une pensée par rapport aux autres et nous devons conserver cet héritage issu d’esprits éclairés, d’illustres citoyens.