Les enseignes ne peuvent se multiplier à l'infini : quand elles sont déjà en centre-ville et en périphérie, lorsqu'un troisième pôle se crée et qu'elles veulent en être, elles ferment la boutique la moins rentable, et c'est celle du centre-ville.
Je souhaite aussi attirer votre attention sur les effets de seuils et, en particulier, sur les surfaces de moins de 1 000 m² qui gagneraient à entrer dans la régulation des plans d'urbanisme. Aujourd'hui, les outils font défaut.