Ce compromis permet de répondre à deux préoccupations fondamentales, la première l'étant, pour l'Assemblée nationale, la seconde, pour le Sénat : l'inscription dans la loi de l'interdiction d'exploitation des animaux sauvages dans les cirques itinérants et la recherche de solutions pour les animaux dans le respect de leur bien-être.
Pendant des décennies, nous avons considéré qu'une telle exploitation ne relevait pas de la maltraitance. Les circassiens exerçant par ailleurs le plus souvent de la meilleure manière possible, il importe de ne pas les stigmatiser.