Le problème, c'est qu'il est beaucoup plus facile et beaucoup moins cher de faire du neuf dans un champ que de restaurer. Un exploitant de supermarchés qui veut étendre une surface située sous le seuil de 999 m2 à 1 400 m² a le choix, s'il a une réserve foncière, entre utiliser celle-ci, mais il devra fermer un temps son magasin pour créer le nouveau, ou l'abandonner pour en créer un nouveau et, dans ce cas, il pourra continuer à exploiter son magasin jusqu'au dernier moment. La surdensité commerciale vient de là.
Sur les accords locaux, il y a une complexité énorme dans la gestion du travail dominical, avec des zones touristiques, des zones commerciales, les dimanches du maire, etc. Chacun de ces outils a un sens mais ils sont difficiles à coordonner. Le travail dominical doit bien sûr être géré localement et c'est une tâche complexe pour les maires qui sont confrontés à ce millefeuille, auquel il faut d'ailleurs ajouter les zones touristiques internationales. Un outil plus simple d'emploi serait probablement pertinent.