plutôt qu’à une possible candidature serait dans une forme d’hypocrisie ou d’ambiguïté.
Je trouve cette critique rétrospective de Nicolas Sarkozy et de Jacques Chirac d’une très grande violence. §D’une très grande violence !
Je me souviens que, en 2012, on entendait les mêmes mots dans l’opposition de l’époque. Ma prédécesseure, alors porte-parole du gouvernement, défendait la légitimité du président Sarkozy à agir jusqu’au bout de son mandat. Alors qu’elle est aujourd’hui votre candidate à l’élection présidentielle, mesdames, messieurs de la majorité sénatoriale